«La pensée est la seule dirigeante du corps, l’énergie sa manifestation, le mouvement sa vibration.» Steve Lambert
Ceux qui me connaissent savent que je me suis séparée il y quelques années après avoir partagé une relation qui a durée 30 ans avec le père de mes enfants. L’amour a ses saisons et les relations naissent et se transforment également. Depuis, je suis à la recherche de l’âme sœur et j’ai fait quelques rencontres. Bref, parfois elles se sont terminées harmonieusement et, à d’autres occasions, il valait mieux partir en sprintant. Mais bon, je me souhaite toujours le meilleur et, pour cela, j’apprends de mes erreurs. C’est pourquoi, comme pour toute expérience significative, la fin d’une relation, par exemple, j’ai le réflexe de prendre du recul pour mieux comprendre ce qui s’est passé afin de repartir vers l’avant mieux équipé. Ce processus m’amène à faire un rituel pour clore un chapitre de ma vie et je partage avec vous une première leçon que j’ai retirée. Bonne lecture !
Rituel : pour accueillir le nouveau
La seule possibilité de donner un sens à son existence, c’est d’élever sa relation naturelle avec le monde à la hauteur d’une relation spirituelle. Albert Scheizer
Certaines de nos expériences sont si importantes, marquantes ou significatives qu’il est nécessaire de faire un rituel pour marquer la fin et passer à autre chose. Un rituel est une pratique sacrée ( parce qu’elle est inscrite en soi, ce lieu sacré en nous-mêmes ) réalisée à un moment bien précis. Pour moi un rituel permet de donner un sens à l’expérience, d’en assimiler le bagage de sagesse qu’elle transporte, de prendre conscience des leçons de vie apprises et, surtout, de faire la paix avec les enjeux qu’elle a soulevés. Cela se fait très simplement ou bien de manière plus structurée et solennelle. J’ai l’habitude de faire cet exercice par méditation et par écrit et j’ai listé sous forme de leçons le contenu de sagesse qui ressort de mon expérience. Je crois que toute sagesse se partage et offre un éclairage différent pour réfléchir à nos rapports humains. En fait, pour qu’ils évoluent un peu plus vers le divin.
Ceux qui se ressemblent s’assemblent.
«Les personnes qui ont les mêmes inclinations, les mêmes habitudes, se recherchent mutuellement.» Wiktionnaire
Chacun possède sa propre vibration, c’est-à-dire un état d’être habituel où évolue sa conscience. Dans ses études de la conscience humaine, le prix Nobel David R Hawkins[1] a développée une échelle pour distinguer les niveaux dans lesquels l’humanité évolue. La qualité de ses pensées, ses sentiments, ses attitudes et ses actions forment et sont le reflet du niveau de conscience dans lequel chemine une personne et cela colore sa perception de la vie. Ainsi nous agissons en fonction de ce que nous percevons, en passant par des vibrations des plus bases aux vibrations des plus sublimes. Le tableau ci-dessus vous présente cette classification et je vous invite à pousser votre réflexion en lisant un excellent article sur le sujet qui provient des chroniques Arcturius.[2]
Ainsi, à la base il y a la honte, la culpabilité, l’apathie, le chagrin, la peur, le désir, la colère, l’orgueil. Arrive ensuite le courage suivi de la neutralité, la volonté, l’acceptation, la raison, l’amour, la joie, la paix et l’illumination. Hawkins nous dit que la conscience gradue à l’intérieur de cette échelle et fluctue entre différents niveaux, mais que de manière générale, nous nous retrouvons sur une vibration précise. Par exemple, certains éléments de son projet de vie peuvent se situer sur différents palliés (vie personnelle (volonté), familiale (courage), couple (acceptation), travail (courage), loisirs (courage), etc.). Selon cet exemple, de manière générale cette personne se retrouve sur la vibration du courage, où la vie est perçut comme étant une série de défis à relever plutôt qu’un fardeau à porter, et ou le futur est rempli de promesses. Cette personne voit dans le présent une amélioration de sa vie passée et elle croit également pour son futur que tout est possible et que le meilleur est toujours à venir. Pour ce qui est des relations, si votre partenaire vibre généralement au niveau de la peur (le monde est dangereux et il faut se méfier), et que vous vous vibrez au niveau de la volonté (le monde est imparfait, mais tellement magnifique), il y a écart qui contribuera à un certain décalage qui se traduisent en inconfort ou malaise au sein de votre relation.
Niveaux de conscience et qualité de perception : synchronisation et confrontation
«Synchroniser. Sens 1 : Rendre synchrone, coordonner plusieurs actions, phénomènes, évènements…» «Confrontation. Sens 1 : Action de confronter des éléments entre eux.» Internaute
L’expérience m’enseigne que nous ne pouvons pas chercher, ou espérer vouloir amener une autre personne à vivre à partir de son propre niveau de conscience, et ce même si nous avons perçut chez lui le plus grand des potentiels. C’est tout simplement impossible ! En ce sens, même avec la plus grande des volontés, si cette personne ne vibre pas au diapason de votre niveau, elle devra soit élever ou soit abaisser la qualité de ses perceptions, ses pensées et ses sentiments pour y parvenir. On appelle cela niveler vers le haut ou niveler vers le bas. C’est une chose pour une idée que nous souhaitons transmettre et c’est une toute autre chose lorsqu’il s’agit d’une façon de voir et vivre la vie dans toute sa globalité. La qualité de la relation sera affectée par des hauts et des bas selon l’affinité des niveaux de conscience des partenaires qui se fusionnent ou s’entrechoquent.
Dans une relation qui s’établit entre deux personnes, s’est deux visions du monde qui s’unissent. Tantôt elles se confrontent et tantôt elles se synchronisent et cela est tout à fait normal ; c’est un processus continuel d’ajustements. Si la plupart du temps les partenaires vibrent à un niveau similaire se sera plus fluide (synchronisation)[3] et s’ils vibrent à des niveaux différents, se sera plus houleux (confrontation). Par exemple, si quelqu’un a l’habitude de voir le beau en chaque chose (volonté) et que l’autre voit constamment les menaces en toutes choses (peur), il y a opposition entre les visions du monde, ce qui complexifie la relation en créant des insatisfactions, des frustrations et inévitablement des conflits.
Parce que la seconde personne (peur) a un accès fragmentaire au monde de la première personne (volonté) qui communique grâce au partage des ses pensées, de sa propre compréhension des choses, la seconde personne (peur) sera tout de même limitée dans sa compréhension, car elle traite et interprète l’information à partir de sa propre réalité et vision du monde (peur). Par conséquent, ce partage lui donne accès à certaine compréhension du pallié (volonté), mais pour accéder de manière durable à la vibration de l’autre (volonté), comme un effet domino, cette personne (peur) devra refaire une interprétation des données de sa psyché (repenser ses idées et croyances et tenter de les replacer sur le niveau de la volonté) soit les reconfigurer. Tout cela prend du temps et beaucoup d’énergie. Imaginez tout le travail que cela exige pour une idée ou une opinion comparativement à sa vision du monde au complet qui comporte des milliers de perceptions, d’expériences, d’idées et qui compte aussi, en plus, des blessures et du vécu non résolu du passé qui demande à être réglé.
Maintenant que nous connaissons la complexité du processus, il est plus facile de constater que nous ne pouvons pas fonder les bases d’une relation sur l’espoir que l’autre arrivera à se mettre au diapason de ses perceptions s’il est trop éloigné de son propre niveau de conscience, et ce même si le potentiel est excellent. Oui, chacun de nous portons un potentiel, mais rien ne garantie sa manifestation. D’ailleurs cela est le travail d’une vie.
Il ne faut pas se bercer d’illusions : le développement personnel ne se commande pas sur volonté et nous n’avons aucun pouvoir sur la croissance de l’autre, et ce même si nous sommes la personne la plus gentille, la plus patiente et la plus compréhensive en ce monde ! En ce sens, on a beau vouloir pour l’autre, travailler très fort pour le soutenir et même aller jusqu’à fermer les yeux sur certains épisodes qu’on voudrait oublier dans l’espoir qu’ils ne se reproduiront plus. Ce saut quantique exigé n’est pas réalisable comme par magie. Cela est aussi vrai pour l’autre même s’il souhaite lui aussi hardiment être là où vous êtes, il n’y a pas accès.
Ce travail d’évolution de la conscience chez l’autre ne nous appartient pas, mais il nous affecte cependant et c’est là que nous pouvons agir. C’est comme le mouvement du jeu de serpents et échelles. Dans cette relation, est-ce que j’ai davantage l’impression de me positionner sur une case échelle qui monte (amour), de serpent (peur) qui me fait reculer ou bien est-ce que j’ai le sentiment de pouvoir continuer tout simplement sur l’échiquier (volonté) et croître au sein du jeu de la vie à travers le couple ? Si la réponse cumule plus de serpents ou d’échelles que d’avancées, alors nous ne pouvons que constater avec acceptation que :
- De manière générale l’autre n’est pas à la même place que nous dans son corps, sa tête, son cœur et son esprit. Par conséquent, il a y présence d’insatisfactions, de frustrations et de conflits plus qu’à l’ordinaire ( en se référant à la dynamique habituelle d’un couple ). Il y a peut-être même présence d’une dynamique malsaine, des jeux de pouvoir ou d’un problème plus sérieux qui s’est dévoilé en cours de route qui n’était pas visible au début de la relation. Pensons à la présence de problématiques sournoises et perverses comme des situations d’abus et de violence ;
- Évaluer les impacts que cet écart de vibration nous confronte maintenant sur notre propre développement personnel ainsi que sur la croissance de notre projet de vie ( les dimensions qui doivent être nivelées vers le haut ou vers le bas et ce qui peut être maintenu ). Quelle est la distance à parcourir entre les niveaux ? Quel est le prix à payer, l’effort à fournir et les gains possibles actuellement ? ;
- Faire des choix pour son propre bien-être, c’est-à-dire pour se protéger (physiquement, psychologiquement, émotionnellement, matériellement et spirituellement) et préserver son niveau personnel de vibration afin de pouvoir continuer nous-mêmes à évoluer d’une case à l’autre et non de stopper notre croissance dans l’attente que l’autre évolue ou bien prendre les bouchées triples pour tenter de rejoindre l’autre qui est à huit pas plus loin. C’est comme dans la chanson de jean-Pierre Ferland Un peu plus loin chantée par Ginette Reno et Céline Dion ;
- Agir en conséquence. Et, c’est ici que ça se corse puisqu’il nous faut possiblement faire le choix de mettre fin à une relation dans laquelle nous avions vu le magnifique potentiel, d’autant plus difficile lorsqu’on y a mis tout notre amour et investit beaucoup de volonté, de temps, d’efforts et d’argent. Mais au bout du compte, on perd plus qu’on y gagne à vouloir entretenir une relation où les partenaires ne vibrent pas sur une onde similaire et compatible.
Une relation amoureuse comporte beaucoup plus d’enjeux qu’une autre relation du fait qu’il y a intimité, partage du quotidien et d’objectifs de vie d’où se crée l’identité du «nous» qui est formé et à partir duquel ce «nous» fait des projets qui lui ressemble. Il faut être conscient de ces enjeux. Bref, malgré toute la bonne volonté des partenaires, à lui seul cet écart de niveau de conscience créera de lui-même une force de répulsion en dépits de la force d’attraction qui se joue entre homme et femme. A la longue, le couple deviendra un lieu de déceptions, de blessures, de compromis non nobles, de sacrifices, de frustrations, de reproches, de conflits et même de malveillance et de violence… des serpents, parfois de très longs et de très gros serpents vous aspirent très bas. Le couple sera ainsi transporté à la case départ, à l’échec puisqu’une évolution commune n’est pas réalisable.
Plus que des traits ou des intérêts communs, une qualité d’être similaire favorisent le développement d’une saine relation ; qui se ressemble s’assemble quoi ! Et à partir de là, nous pouvons grandir ensemble au meilleur de soi et vivre les défis de la vie de couple en étant bienfaisants et bienveillants l’un pour l’autre. Il faut alors chercher à identifié le niveau de conscience où se situe notre partenaire afin de rendre nos rapports humains plus divins. Voici quelques pistes de réflexions.
Pistes de réflexions
La réflexion personnelle est l’école de la sagesse. Baltasar Gracian
Personne n’est mieux qu’une autre. Nous avons tous un chemin différent qui est de valeur équivalente même si nous n’évoluons pas sur la même vibration. Comprenez qu’il ne s’agit pas ici de mesurer la valeur des partenaires d’une relation pour distinguer qui est en haut ou en bas afin de mousser son égo ou se donner des munitions pour blesser l’ego de l’autre et de se croire supérieur ou inférieur. Il s’agit de comprendre qu’il y a parfois une certaine distance vibratoire qui peut nous séparer à la base et il est intéressant de vérifier si une croissance commune est possible et si cette relation sera bénéfique et durable sur le plus long terme pour soi et pour «nous» à partir des conditions présentes (et non des illusions ou espoirs futurs). Vous savez c’est comme faire l’achat de vêtements trop petits (et en soldes !) parce qu’ils sont beaux en espérant perdre les kilos en trop pour pouvoir les porter. Ces pistes pourront donner une direction à vos réflexions.
Dimension personnelle :
- Comment l’autre parle-t-il de sa vie amoureuse, de ses anciennes relations et de ses ex-conjoints ? Quels mots utilise-t-il ? Qu’elle est la qualité des émotions qui subsistent à présent dans sa vie par rapport à ce vécu ( rage, colère, méfiance, détachement, acceptation, bienveillance, compassion … ) ? Est-ce qu’elles sont résolues, encore vives ou actives ? Quel niveau de maturité fait-il preuve face à cela ?
- Quel est le poids ou la légèreté ressenti face au vécu de l’autre et, surtout, de ce qu’il en fait ?
- Comment se porte ses sphères de vie ? Est-ce qu’elles sont toutes présentes ? Est-ce qu’elles sont harmonieuses ? Avec qui entretient-il des relations ?
- Comment s’occupe-t-il de sa personne et de son lieu de vie ?
- A-t-il des projets ou y a-t-il beaucoup de choses à régler pour en arriver s’y consacrer ?
Dimension relationnelle :
- Entre vous et votre partenaire, y a-t-il respect mutuel des droits et libertés de chacun ?
- Outre les traits communs, les affinités, sentez-vous un écart ou est-ce qu’un ajustement important est à faire par rapport à votre perception de la vie ? Ou bien est-ce fluide et facile ? Quelles sont les points communs et les points divergents ? Et comment cela s’illustre-t-il dans la balance ?
- Devez-vous mobilier beaucoup d’énergie pour expliquer votre perception et défaire constamment des conflits ? Est-ce que la façon de penser de l’autre génère d’elle-même des conflits qui vous semblent sortir d’une boîte à surprise ?
- Vous sentez-vous pris au piège dans une dynamique plus complexe que celle d’une saine relation de couple ? Faite-vous face à des situations défavorables, malsaines ou à des comportements inacceptables ? Avez-vous l’impression que cette relation prend soin de vous et fait sortir le meilleur de vous-mêmes ? Est-ce que l’autre est intéressant, stimulant et inspirant ?
- En pensant à votre relation, avez-vous le souhait d’y construire ou d’entretenir un petit nid douillet ? Avez-vous plutôt envie de vous sauver en courant, mais vous hésitez car beaucoup de démarches doivent-être faites pour vous en libérer (présence d’enfants, partage d’un lieu de vie, partage du patrimoine commun, etc.) ? Est-ce que vous planifiez des projets d’avenir ensemble qui vous enchantent?
Faites la réflexion sur vous-même. À quel niveau de conscience vous situez-vous personnellement et ou en êtes-vous avec toutes ces questions ? Identifiez ce même niveau pour votre partenaire non pas pour le juger, mais pour éclairer votre parcours, comprendre la situation que vous vivez et mieux guider dans vos choix.
Se sont-là des pistes de réflexions, mais le plus important s’est de laisser votre intuition vous guider et de la suivre. Oui, toute personne possède en elle de belles qualités et un magnifique potentiel de croissance, des beaux rêves et de grands espoirs. Au-delà de ces considérations plus personnelles, il y a la trame de vie, soit un niveau de conscience dans lequel elle baigne et évolue qui détermine la qualité des ses comportements en harmonie ou non avec soi. Il y a notre trame de vie à nous et notre niveau de conscience dans lequel nous évoluons. Est-ce qu’il y a compatibilité entre ces deux visions du monde ? Voilà qui porte à réfléchir et qui devrait nous pousser dans l’action afin de vivre une vie plus harmonieuse et satisfaisante.
Au-delà du couple : relation toxique ou relation bénéfique ?
Ces données sont importantes pour le couple, mais elles s’appliquent également à toute autre relation interpersonnelle que nous partageons que ce soit dans notre famille, au travail, dans un sport ou un loisir, un voisin, etc. Pour éviter de s’enraciner dans des relations toxiques ( se retrouver avec des gens qui vivent et vibrent à un niveau trop différent du vôtre à partir duquel leurs perceptions de la vie vous bousculent, vous nuisent ou ne vous sont pas accessibles ), entourez-vous de personnes qui vibrent au diapason de votre propre niveau de conscience et de vos aspirations et vous aurez alors des relations bénéfiques et favorables dans votre vie. Référez-vous au tableau de David R Hawkins pour chacune de vos relations.
Sachez que nous évoluons tous et que de temps à autre il est bon faire le bilan et de revoir qui compose notre réseau pour y faire une mise à jour. Tout cela est possible si nous établissons notre vie à partir de nous-mêmes et trouvons notre stabilité intérieure en soi-même. Ceci est la deuxième leçon apprise. Notre force provient de cet endroit en soi et non d’une relation. La croyance populaire qui nous amène à croire qu’à deux nous sommes plus forts n’est pas toujours vraie ; la relation avec l’autre peut nous affaiblir. Mais ça veut dire quoi au juste et qu’est-ce que cela implique la stabilité intérieure? Voila un sujet fort intéressant pour un prochain article ! D’ici là, chers lecteurs, vibrez au plus haut de votre potentiel, vivez à votre hauteur et aimez au sein d’un couple qui vous fait du bien ! En tout les cas, c’est ce que je m’efforce de faire. Et même si parfois je me sens comme un petit oiseau qui apprend à voler, l’horizon est tellement beau ! Le couple est un lieu magnifique lorsque les partenaires évoluent et vibrent ensemble en symbiose et que les différences permettent de s’enrichir plutôt que de se nuire.
Namasté !
Martine Trudel, T.T.S. | B.T.S | Maître Reiki
Praticiennienne certifiée M.A.R.I.
http://www.fontainedelumiere.com
martinetrudel.bts@gmail.com | 438-351-4254
©MartineTrudel, août 2019
[1] David R. Howkins, Pouvoir contre force. Les déterminants cachés du comportement humain. Guy Trédaniel éditeur, Paris, 2015.
[2] http://www.arcturius.org/chroniques/echelle-de-conscience-de-hawkins/
[3] Les partenaires auront alors à négocier les étapes normales de la vie de couple, mais la toile de fond de la relation demeure leur niveau de vibration personnel.
Un article qui ne laisse pas indifférent et qu’on aurait envie de partager à tous!
Contente que tu sois de retour à l’écriture mon amie!
Effectivement, le sujet ne nous laisse pas indifférent, car il nous concerne tous. Il nous offre des points de repères intéressants. Merci d’avoir pris le temps de partager ce commentaire.
❤️🌺❤️