Préambule
Après avoir écris quatre articles[1] sur la méthode de résolution de problème par la purification des mémoires Ho’oponopono, je croyais avoir fait le tour de la question. Or, il ne me restait plus qu’à poursuivre le grand lavage dans la «laveuse cosmique» du point zéro en récitant le mantra purificateur (désolé, pardonne-moi, merci, je t’aime) afin de me libérer du bagage psychique alourdissant que j’ai accumulé au fil des ans. Mais ce matin, la vie me fait un clin d’œil puis un sourire complice comme si elle me disait : «Mmm… Tu te précipites ma chère! Certes, c’est très bien de réciter le mantra. Toutefois, il importe également d’accomplir tout ce que cela entraînera dans ta vie.» Ce dialogue déclencha une succession de révélations qui me permirent de faire de nombreuses prises de conscience sur la notion de passage à vide que la méthode Ho’oponopono nous incite à explorer afin de pacifier sa vie. C’est ce contenu que je vous présente dans ce papier.
Ouvrir les yeux
«L’aventure, c’est ouvrir de nouvelles portes la bouche fermée et les yeux grands ouverts.» Barbara Kingsolver
Invité par la voix aimante de mon grand Soi, j’ouvris mes sens intérieurs pour écouter ce qu’elle avait à me livrer. Messagère d’une conscience bienveillante, affectueusement elle me fait comprendre qu’il m’est nécessaire d’intégrer davantage le concept de purification pour activer efficacement cette sagesse hawaïenne dans ma vie. C’est alors que je saisissais l’ampleur du grand travail d’amour envers soi requis pour la résolution des problèmes, de même que la teneur de tout ce que j’ai à nettoyer par le pardon pour installer ma propre conscience dans cet espace de paix. Mmm… la paix.. Je hisse le drapeau blanc, aussi blanc qu’un écran.
Une image mentale me fut alors montrée afin que je prenne conscience d’une attitude inefficace que j’entretiens. J’ai vu un enfant ouvrir une porte, crier ses besoins et la refermer aussitôt sans recevoir ni écouter la réponse à ses demandes. Cela va de soi, pour que la méthode Ho’oponopono soit agissante, il est important de maintenir la porte ouverte. C’est effectivement en confiant ses problèmes à résoudre, mais c’est aussi, et surtout, adopter une attitude d’ouverture pour recevoir une guidance. Ainsi, en observant attentivement la vie se déployer sur sa trajectoire, il est alors possible de distinguer les messages cachés qui émergent dans sa réalité par rapport au besoin exprimé (événements, hasards, synchronicités, opportunités, nouveautés et changements). Vous le savez, c’est ainsi que la vie communique avec nous et nous guide. Il s’agira par la suite d’agir en harmonie avec l’inspiration qui découle de ces échanges. C’est cette démarche qui résout les soucis et c’est le sujet traité dans cet article. Mais pour cela, chacun doit prendre l’entière responsabilité de ce qui lui arrive et agir avec foi en se laissant guider par la divinité. Celle-ci doit donc reposer autant sur la vie qu’en soi-même, en ses perceptions intuitives notamment. Facile à dire, oui. Avoir foi, mais je dois me l’avouer… j’ai peur!
La peur du vide
«Il faut créer beaucoup de vide en soi pour naître au recevoir.» Jacques Salomé
Ceci m’amena à m’interroger. Mais pourquoi donc agissais-je ainsi en refermant la porte aussitôt après l’avoir ouverte? Était-ce là le cheminement d’une peur qui m’absorbait inconsciemment en prenant le dessus sur ma foi? Mais c’est la peur de quoi au juste? Aurais-je peur de sortir de mes mécanismes habituels, de ma routine, tout comme Phil Conners[2] prisonnier de ses vieux repères? Serais-ce la peur de perdre ma direction, de ne plus savoir à quoi me raccrocher ni ce vers quoi me diriger? Me connaissant, il est fort probable qu’il s’agisse de toutes ces réponses en même temps. Ouille! Voilà qui me ressemble vraiment… «désolé, pardonne-moi, merci, je t’aime!»
Vous savez, à mes yeux le pire c’est la peur du vide que crée l’inconnu. Il s’agit d’un démon psychique qui enlève direction et réveille toute la gamme des émotions dérangeantes en passant par la confusion, le resserrement, l’angoisse, l’oppression et même la souffrance. En nous propulsant dans l’incertitude, le vide casse boussole, tire le tapis sous les pieds, bande les yeux, jette dans la noirceur, là où nos sens habituels sont totalement brouillés au point qu’il faille absolument, comme un parachute, ouvrir d’urgence le 6ième sens pour s’y retrouver. Ouais, c’est bien celui que la majorité d’entre-nous avons mis aux oubliettes depuis belle lurette en échange d’une sécurité offerte par quelque chose d’extérieur à soi : une religion pour s’assurer une place au ciel; une police d’assurance sur la vie, en cas de sinistre, d’accident, de si ou de ça; un GPS pour ne pas se perdre; un téléphone cellulaire pour être rejoint au cas ou quelque chose d’important survenait; un abri nucléaire contre la folie de l’homme, etc. Citoyens de ce monde, nous sommes équipés pour faire face au pire et éduqués à se méfier de la vie. Nous vivons continuellement dans la peur. Quelle sensation inconfortable n’est-ce pas? Voilà sur quoi notre société mise pour faire des affaires à nos dépends; nourrir et amplifier la peur du peuple c’est très lucratif. Pendant ce temps, je suis là sur mon canapé face à face avec mon obscurité. Chère conscience intelligente, bienveillante et sage, éclaire-moi au plus vite, à tout le moins apprends-moi à voir dans le noir.
Voir dans le noir
«Tout est bruit pour qui a peur.» Sophocle
Dans le noir le plus dense engendré par le passage à vide, c’est-à-dire lorsqu’il n’y a plus la moindre indication face aux possibilités à venir par rapport à une situation nouvelle ainsi que l’absence totale de repères, le mental s’épuise en se débattant avec les scénarios dramatiques qu’il crée de toute pièce en anticipant le pire : «C’est quoi cette affaire là?», «Bien voyons donc! Je ne sais pas du tout quoi faire.», «Je ne peux pas passer à travers, c’est trop difficile.», «Je vais carrément me péter la gueule.». C’est là, au bout du tunnel, que surgit du plus profond de soi cette lumière qui intuitivement chuchote «Pas de panique! Je suis là. Ne t’inquiète pas. Je suis avec toi. On va trouver tout ce dont on a besoin. Courage, allons-y.» C’est la voix du Soi qui nous demande de faire preuve d’un peu plus de foi. C’est à partir de ce moment-clef que l’anxiété arrête de s’intensifier et se ventile au fur et à mesure que la peur est neutralisée par les directives que nous donne le Soi. C’est ainsi qu’une fois nos yeux intérieurs ouverts, qu’il est possible de voir dans le noir sans être intimidé par la vacuité qui nous habite. De nouveaux points de repère se construisent alors de l’intérieur plutôt que de l’extérieur de soi. Le senti et l’intuition dominent et l’intelligence supérieure guide alors nos pas, ce qui pacifie le moi.
Neutraliser la peur pour pacifier son être
«Qu’il est divin le vide qui suit la disparition de la peur.» Anne Rice
Vous le savez, il est beaucoup plus efficace de cesser de se débattre avec ses peurs en apprenant à faire face au vide grâce à la foi pour se diriger dans la noirceur. Ce qui est plus facile à dire qu’à faire. Mais un des moyens les plus efficace pour se défaire de cette habitude nuisible qui consiste à s’inquiéter du changement, à craindre l’inconnu et, par conséquent, à stagner au plan de son évolution, c’est de développer les qualités mentales et émotives qui neutralisent nos peurs. La sagesse Ho’oponopono permet de le faire en nous invitant à accroître notre confiance en sa divinité intérieure, en Soi. Elle nous apprend à exercer notre capacité à s’aimer et à se pardonner, ce qui restaure son lien de confiance en nous-mêmes et en la vie. C’est ainsi que l’on accède au réconfort qu’apporte la certitude (la foi) en la bienveillance de la vie qui cherche constamment à nous donner le meilleur et à nous diriger vers ce qu’il y a de mieux pour nous, et ce, dans la clarté comme dans la vacuité.
Pensez-y. S’il nous arrivait à tous de croire qu’en se jetant dans le vide (l’inconnu) qu’au lieu de nous écraser nous serions supportés par une main invisible bienveillante (la foi), notre regard face au changement et la nouveauté changerait, de même que notre façon d’envisager la vie. L’inconnu ne serait plus perçu comme menaçant, mais plutôt comme un tremplin nous propulsant sans cesse vers la croissance et la plénitude. Ho’oponopono nous montre comment nous alléger en purifiant notre âme des mémoires qui nous amènent à constamment entretenir nos peurs et à répéter les mêmes scénarios ou erreurs en essayant de contourner à tout prix le sentiment de vide provoqué par la vacuité. Elle nous propose une méthode pour apprendre à dépasser ce qui bloque notre progression et à flotter dans l’infini du point-zéro afin d’accéder à une vie plus enrichissante et plus satisfaisante en accédant à notre plein potentiel.
Du vide au plein
«Quand rien n’est certain, tout est possible.» Marcy Sue Friend
Composer avec sa peur du vide par la confiance et l’amour qui rétablit la foi nous permet donc d’avancer et de poursuivre son chemin avec et en dépit de l’adversité. Or, marcher dans l’obscurité de l’inconnu avec une plus grande aisance est tout à fait possible. Pour appuyer ce mouvement, voici un rappel de quatre éléments qui neutralisent la peur du vide. Il s’agit, premièrement de l’observation du silence et l’accueil de la douceur. Deuxièmement, l’accession à la neutralité par le pardon. Troisièmement, l’observation de sa vie, c’est-à-dire de ce qui se présente à soi. Et enfin, quatrièmement, la validation de ses intuitions et l’action dans la foi.
1. Observation du silence et accueil de la douceur
En nous repose a un réservoir de sagesse, d’amour et d’intelligence sur lequel nous pouvons compter en tout moment pour traverser tout ce à quoi nous sommes amenés à vivre. C’est la sagesse du Soi qui nous parvient par intuition. On y accède par le silence. Il s’agit de taire ce mental bruyant en faisant le vide afin de trouver en nous-mêmes cet espace calme ou réside le non-faire/le non-vouloir porteur de bienfaits.
Par exemple, en méditant l’image que j’ai reçue de l’enfant bruyant épeuré, j’ai compris qu’il n’est pas nécessaire de me raconter de long et en large et de répéter à l’univers, à Dieu ou aux anges maintes et maintes fois tout ce qui m’habite, car c’est là une énorme perte d’énergie qui charge mon aura de négativité, et ceci ne fait qu’ajouter au tourbillon que génère le mental. En effet, cette Conscience d’être qui réside à la fois en moi et dans tout l’univers, sait déjà tout ce qui mijote en moi puisqu’Elle constitue l’identité de mon Soi. Sitôt que j’ai réassimilé cet état de fait, je constatais l’importance de l’observation du silence. Mon âme fut alors submergée par cette conscience aimante, et simultanément comme une bouffée, j’ai ressenti un calme intérieur et une douceur s’installer. Le besoin de crier mentalement mes besoins à l’univers s’est depuis estompé et le silence est devenu nourricier. Dans cet espace remplie d’amour inconditionnel le conflit se dissout et le lâcher-prise ainsi que le pardon s’accordent systématiquement.
2. Accession à la neutralité par le pardon
S’il faut demander pour recevoir, je ne sais pas pour vous, mais il me semble que pour moi que le sujet de la plupart de mes demandes à la Vie sont usées. En ce sens, c’est toujours la même chose qui revient sans cesse; aide-moi à réaliser ceci, soulage-moi de ce fardeau… En fait, se sont toutes ces choses auxquelles nous résistons pour garder le statut quo. Se sont aussi celles qui se résoudraient facilement en gagnant le million au Lotto ou encore en faisant disparaître quelqu’un de désagréable de sa vie. Tous cela relèvent d’énergies résiduelles stagnantes provenant de mémoires, c’est-à-dire de l’attachement de sa personnalité à des expériences et objets du passé (on s’y accroche car nous aurions préféré un autre dénouement que celui qui s’est déroulé). Si nous ne nous pardonnons pas ces histoires, comme un fantôme, nous sommes voués à errer tant qu’elles ne seront pas pacifiées, complétées, bouclées. En ce sens, par habitude on ne traite pas avec de l’énergie «propre» de création (neutre, créative et libre de tout karma), puisqu’on rejoue les mêmes cycles. Oui, ce connu est sécurisant, mais il devient aussi très ennuyant. Il importe donc par le pardon de libérer toute charge et de faire la mise au neutre de l’âme par rapport à ce vécu afin d’agir sans le filtre des mémoires et des blessures, de même que pour créer du matériel neuf, soit des expériences de vie totalement nouvelles et ressourçantes plutôt que d’avoir peur d’avancer vers mieux. C’est exactement à ce dessein qu’il me faut investir mon énergie afin de transcender ma peur en foi et plonger dans le vide (la nouveauté et le changement) pour continuer à évoluer. De toute façon, que j’erre pendant 30 minutes ou 1000 ans, ce n’est qu’une question de temps, car il vient un moment où le besoin de croissance devient plus fort que la peur du passage à vide et l’action est la seule option possible.
Pour me renouveler et me sentir vivifiée, autant que faire se peut, lorsque le mental se place à nouveau sur ses vieilles rengaines, je l’arrête en lui répétant «chut» jusqu’à ce qu’il se calme, jusqu’au silence obtenu. Je m’efforce ainsi à ne plus nourrir l’ancien en lui donnant de l’attention et de l’énergie émotive. Le mantra Ho’oponopono «Désolé, pardonne-moi, merci, je t’aime» permet justement de calmer le mental et le diriger dans la conscience nouvelle et paisible du Soi, là où réside la confiance en ses repères intérieurs et en sa capacité à faire face plutôt qu’à cédé à la tentation de rejouer son ancien programme. Le point zéro étant neutre, il nettoie cette énergie résiduelle qui se transforme jusqu’à l’épuration. En focalisant son attention sur le silence ceci crée l’espace à de nouvelles possibilités d’émerger du vide créateur, et par conséquent, donne une nouvelle direction à sa vie. Voici un autre exemple.
Afin d’apaiser une tension intérieure diffuse et persistante, adolescente j’ai commencé à fumer la cigarette; Ce qui n’a rien résout. Lorsque j’ai arrêté de consommer du tabac, pour compenser, je me suis alimenté plus que nécessaire et je me suis mise à mâcher compulsivement du chewing gum. Ensuite, j’ai dû faire un régime et de l’exercice pour perdre le surplus de poids accumulé. Une fois remise en forme, j’ai ajouté la course, la danse, le yoga et la méditation pour garder le mental orienté vers le meilleur pour moi. C’est ainsi que tranquillement je transformais cette énergie discordante (fumer la cigarette) en la canalisant positivement dans des activités plus saines. Vous voyez comment une énergie se purifie, se neutralise graduellement puis se renouvelle? Pour transformer un état, une situation, un comportement ou tout autre objet, il faut arrêter un «ancien» comportement (faire le vide pour le nettoyer) et s’ouvrir à la nouveauté et au non savoir (plonger dans le vide) pour accéder à une nouvelle façon d’agir. En d’autres mots, il importe de donner une autre réponse à une énergie «ancienne». Observer la vie permet de distinguer des moyens pour s’y prendre.
3. Observation de sa vie
Je suis de nature contemplative. J’aime observer la vie, écouter l’écho qu’elle me renvoie et saisir les occasions qu’elle me fait voir parmi la gamme des possibles. Observer sa vie, c’est se poser la question suivante «Que se passe-t-il actuellement dans ma vie?». C’est un exercice simple à réaliser, car il suffit de prendre un instant pour s’asseoir et examiner les événements, les possibilités, les opportunités, les nouveautés, les synchronicités et les messages (reçus dans ses rêves, à l’aide de cartes symboliques, un passage significatif dans un livre, par exemples.) qui surgissent dans son présent. Que se passe-t-il de particulier, notamment par rapport à nos demandes de soutien faites à l’univers? Cette recherche affine sa conscience qui s’éveille, renouvelle son regard posé sur sa vie et permet de percevoir un tout autre monde devant soi. Un monde sortant de la grisaille du métro-boulot-dodo pour entrer dans une aventure mystérieuse et stimulante où nous sommes notre propre héro en toute complicité avec l’intelligence divine. Le vide se transforme en objet de curiosité que l’on accepte d’emblée d’explorer en adoptant une attitude positive. Voilà que la citation Barbara Kingsolver prend tout son sens «L’aventure, c’est ouvrir de nouvelles portes la bouche fermée et les yeux grands ouverts.» Il s’agira d’observer sa vie jusqu’à ce qu’une directive soit communiquée par intuition et ensuite oser l’inconnu en passant à l’action pour voir où cela nous mène.
4. Validation de ses intuitions et agir dans la foi
Une fois qu’une nouvelle direction a été inspirée de même que la manière de la concrétiser, on doit prendre le risque et oser agir. Agir dans la foi c’est accepter pour un moment de pas savoir et de ne pas pouvoir prévoir un dénouement. C’est faire ce qui semble juste à faire en validant ses intuitions par l’action. C’est aussi se placer dans le flux harmonieux du mouvement de la vie, où, avant même d’avoir besoin, celle-ci a déjà placé tout ce dont il nous faut pour avancer sur le chemin et vaincre les obstacles. Guidé par la bienveillance de la vie et sa sagesse infinie, nous avons tout à gagner. Il faut décrocher de nos repères habituels, oser sauter dans le vide, puis faire ce que nous pressentons devoir faire en toute quiétude d’esprit. Voyons ensuite qu’est-ce qui se passe. S’il y a abondance de ressources pour nous soutenir (créativité, enthousiasme, joie, moyens, soutien, capital, etc), c’est que nous sommes au bon endroit.
L’abondance de ressources
«Celui qui accepte son vide peut remplir sa vie.» Catherine Enjolet
Dans cet article nous avons vu que pour se mouvoir aisément dans le vide que provoque l’inconnu sans craindre le pire et se renouveler, qu’il nous faut établir le silence. Celui-ci neutralise les peurs et les mémoires anciennes qui nous enferment dans des mécanismes et comportements automatiques que nous répétons systématiquement à l’aveuglette. Cette habitude nous amène à craindre le changement et la nouveauté plutôt que d’y voir une occasion de croissance et d’enrichissement. La méthode Ho’oponopono est d’un grand soutien dans la pacification de son être en établissant sa conscience dans le vide du point zéro-zéro limite, là où il y a contact avec notre nature divine et l’abondance des ressources dont nous avons besoin pour constamment évoluer. Impossible de s’esquiver. Pour neutraliser la peur de l’inconnu il faut absolument sauter dans le vide!
Chers lecteurs, ne sous-estimez pas les ressources de votre âme ni celles de votre esprit. Nous sommes pourvus de cette merveilleuse capacité à nous adapter au changement, à faire face à l’adversité, à être créatifs et, grâce à l’intuition et les sentiments, à se repérer dans la vacuité et distinguer le meilleur pour soi parmi toutes les occasions qui se présentent. Faisons preuve de foi pour parcourir de nouveaux sentiers et nous ouvrir à un monde tout en couleur.
Vous le savez, on finit toujours par toucher terre et retomber sur ses pieds!
Merci de me lire. Namasté.
À Bientôt!
[1] Voir les articles «Ho’ oponopono» , «Ho’oponopono: un portail vers le centre de la conscience», «Ho’oponopono! Sauve-moi de moi!««Ho’oponopono : faire la paix avec le bonheur!» placés sous l’onglet Ho’oponopono.[2] Voir les articles «Ho’ oponopono», ou http://www.youtube.com/watch?v=78DQZy4l-5A.
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🙂
C’est un plaisir!