À l’origine, au tout début de notre création, lorsque la Source de Vie nous dota de cette conscience d’être qui nous anime depuis, et bien avant cette existence sur Terre, la vie se déployait avec tant de légèreté qu’il nous semblait, comme des anges, posséder d’immenses ailes et disposer de la capacité de voler. Submergés de lumière, tel était notre état de béatitude. Ainsi, l’éternité se déroulait dans la plus grande sérénité, car nous avions la profonde certitude que la Vie ne délivrait rien d’autre que des bienfaits; tous nos besoins étaient divinement comblés. Ainsi nous étions portés par le flux ininterrompu de bénédictions qui sans cesse s’écoulait sur nous.

Puis, de vie en vie et d’une expérience à une autre se sont accumulés des blessures que nous avons gardées inscrites sur notre âme sous forme de mémoire. Celle-ci s’est alors repliée sur la peine qu’infligeait chacune d’elle, et cet amour que nous portions pour nous-même subissait également un préjudice. Avec le temps, la douleur, la tristesse, la peur et la colère se sont gravés en nous si profondément qu’est alors apparu le poids de vivre, vous savez celui qui nous courbe le dos sous la lourdeur de notre bagage qui réémerge de temps à autre suite à une expérience douloureuse similaire à celle qui l’a créée. Plus ou moins secoués, comme un ange déchu, nous avons perdu nos ailes ainsi que la capacité de voler: «La vie sur terre c’est l’enfer». Nous avons appris à nous méfier de la vie, des uns des autres et, les plus blessés d’entre-nous, ont appris à la voir tel un combat, voir même comme une lutte quotidienne. Si nos pensées créent notre réalité, vous comprenez qu’il est tout aussi facile de créer le paradis que l’enfer. Mais tous ces pouvoirs que nous détenons en tant qu’être doté d’une vie, nous les avons également oublié avec le temps puisqu’ils se sont noyés sous cet amas de mémoires.

Pourtant, la vie n’a jamais cessé de nous combler; c’est sa nature véritable. Cependant, c’est le regard que nous posons sur elle avec le filtre des mémoires que nous avons accumulées qui façonne notre réalité en teintant nos pensées, sentiments et comportements. En ce sens, si je vois la vie comme un combat, je me comporterai comme un soldat. Si ne me pose en victime, je serai inévitablement blessé. Si je vois la vie comme une aventure, alors comme le fou je m’y abandonnerai en anticipant toutes les joies que me procureront les découvertes à venir. Chers lecteurs, nous avons maintenant à reprendre confiance en soi et en  la vie afin retrouver notre état naturel et regagner ce flux aimant et généreux qui n’a jamais cessé de nous inonder depuis le premier jour de notre création. La Fontaine de lumière vous offre aujourd’hui une perle-carte afin d’encourager votre reprise de pouvoir sur votre vie et le retour à votre état d’origine.

L’univers, la Source de Vie ou le Créateur veut ce qu’il y a de mieux pour chacun de nous. Que ceci devienne une certitude et vous soutienne dans votre cheminement vers un mieux être. Rappelez-vous qu’à l’origine, au tout début de notre création, lorsque la Source de Vie nous dota de cette conscience d’être qui nous anime depuis, et bien avant cette existence sur Terre, la vie se déployait avec tant de légèreté qu’il nous semblait, comme des anges, posséder d’immenses ailes et disposer de la capacité de voler. Submergés de lumière, tel était notre état de béatitude. Ainsi, l’éternité se déroulait dans la plus grande sérénité, car nous avions la profonde certitude que la Vie ne délivrait rien d’autre que des bienfaits; tous nos besoins étaient divinement comblés. Ainsi nous étions portés par le flux ininterrompu de bénédictions qui sans cesse s’écoulait sur nous.

 Reprenons nos ailes.

À bientôt!