Effet Geyser

Procédés d’assainissement

Cet article est le quatrième de la série «Effet geyser».

OLYMPUS DIGITAL CAMERAPréambule

 «Lorsque la source est trouble, ce qui en sort l’est aussi.» Proverbe chinois

 Doit-on se mettre dans les pires conditions pour vraiment mériter le fruit de ses efforts? Voilà une question sur laquelle je me suis penchée depuis l’écriture du dernier article «Eau stagnante et faux geyser», question que je vous pose pour amorcer ce vingt-deuxième rendez-vous à la Fontaine de Lumière. C’est que je suis restée sur ce questionnement et il me semble qu’il y ait contradiction entre mes impressions et croyances. En ce sens, je mentionnais combien la victoire est douce à celui qui, établit dans sa Force G, réalise ses plus beaux espoirs. J’affirmais également combien la personne est méritante lorsqu’elle cumule un plus grand nombre de défis que ses compères plus avantagés qu’elle face à une réalisation. Alors, une fois l’objectif atteint, est-ce qu’on additionne les honneurs si on cumule les handicaps, c’est-à-dire les désavantages sur autrui? Et celui qui est avantagé par rapport au défavorisé perd-t-il tout mérite devant ce dernier? Faut-il souffrir pour mériter le crédit de ses efforts? Cher lecteur, cet article tente de répondre à ces questions tout en vous proposant un procédé pour assainir votre vie de ses difficultés, peines et souffrances afin que votre Source Geyser soit aussi propre que belle et qu’elle jaillisse tout en hauteur et en lumière.

 Mérite et souffrance

 «L’homme mérite qu’il se soucis de lui-même car il porte dans son âme les germes de son devenir.» Carl Gustav Jung

J’ai passé la plus grande partie de ma vie à me placer dans des conditions de vie qui favorisent l’épanouissement de soi plutôt que la souffrance. C’est d’ailleurs mon leitmotiv. Pour ce faire, j’ai écouté ma voix intérieure et accepté de lui donner préséance. Puisque nous en accumulons tous, j’ai travaillé à résoudre mes problèmes et à soigner mes peines. Malgré mes difficultés scolaires et le peu de moyens dont je disposais, pour m’assurer une vie meilleure j’ai décroché tous les diplômes que j’ai visés. J’ai également choisi un conjoint aimant et bon qui chérit des valeurs similaires aux miennes et qui constamment m’encourage dans mes projets. Ensuite, j’ai exercé avec passion et dévouement ma profession d’intervenante sociale. Puis, avec mon amoureux j’ai fondé une famille et un foyer. Mon parcours est très similaire à celui de la majorité, car se sont là des tâches que tout jeune réalise pour s’installer dans sa vie d’adulte. Certains y arrivent avec aisance, tandis que d’autres doivent traverser bons nombre d’embuches.

À présent, je concilie mes responsabilités en me consacrant à mon rôle de mère tout en exerçant en parallèle des activés d’écriture à titre d’auteure et de blogueuse. J’ai eu l’opportunité d’être publiée et je souhaite que cela se renouvelle le plus tôt possible et autant de fois que je l’espère. Bien que je ne sois pas la femme ni la mère idéale et que je n’ai pas actuellement le succès d’un auteur de best seller ni le talent de Bernard Werber, mon écrivain favoris, pour moi cette configuration des différentes sphères de ma vie vaut tout l’or du monde. Ainsi, parce que je prends ma vie en main et que j’adapte constamment mon projet de vie pour qu’il reflète qui je suis, je peux me concentrer sur ce qui compte à mes yeux à un rythme harmonieux. Je me retrouve donc en périphérie du marché du travail à observer la vie et ce monde plutôt que prise dans son tourbillon. Pour l’instant, c’est ici ma place, l’à où je donne le meilleur de moi.

Pour arriver à ce bien-être, j’ai sacrifié bon nombre de choses qui sont socialement valorisées, notamment un emploi rémunéré stable, un statut social reconnu, le membership à mon ordre professionnelle, les promotions, l’ancienneté, la voiture de luxe, le iPhone et la dernière technologie, la garde-robe «in» de la saison, et j’en passe. J’ai fait ces choix qui s’avèrent au final très heureux puisqu’en retour je suis présente pour les miens et je me consacre exactement aux activités qui m’accomplissent dans des conditions épanouissantes. J’ai le temps de prendre soin de moi et des miens, de vivre ma vie et d’en jouir. Comprenez que je n’ai pas une vie parfaite, mais une vie adaptée à qui je suis et qui s’approche de cet idéal que j’imagine et qui me guide dans ma quête du bonheur. Nous portons tous en soi notre propre vision de cet idéal qui prend toutes sortes de couleurs. Or, chacun à son rêve de vie et moi j’ai le miens. Bref, j’éprouve une immense gratitude en honorant ainsi ma vie. Je peux affirmer que l’eau de ma Source Geyser est relativement propre et bien entretenue quoiqu’il soit à l’occasion nécessaire de lui donner un traitement choc comme on le fait pour l’entretient d’une piscine!

© Martine Trudel, 2012
© Martine Trudel, 2012

Il va s’en dire que tous ces choix ont contribué au bien-être de mon corps, mon cœur, ma tête et mon esprit. Vous avez compris que ce n’est pas le fruit du hasard si je me trouve à cet endroit de ma vie. Mes pas ont été réfléchis, planifiés et ajustés. Sans être conscients de tous ce que je fournis comme efforts et ce que je sacrifie pour en arriver exactement là où je suis, certains disent que je suis privilégiée. Oui, je le suis et j’y ai travaillé très fort et j’y travaille constamment au quotidien car rien n’est acquis une fois pour toutes. On m’a mentionné plus d’une fois que je suis «moins» méritante que toutes ces femmes qui n’ont pas la chance d’avoir un conjoint aussi aimant et généreux que le miens qui me facilite la vie et qui pourvoit à mes besoins matériels. On me compare ensuite à ces femmes qui sont défavorisées, monoparentales, reconstituées, travailleuses à temps plein épuisées ou étudiantes à bout de souffle, celles qui sont violentées, abusées, dépressives, malades et handicapées. Effectivement si je me compare à celles-ci, je suis bel et bien favorisée et Dieu merci parce que ça n’a pas toujours été le cas.

Oui, j’en conviens, je jouis certes d’une qualité de vie qui rend mes pas plus aisés à bien des égards comparativement à celles qui doivent lutter pour avancer. Mais le fait de m’établir dans une position épanouissante, de constamment me dépasser et de devenir un peu plus chaque jour ce que j’ai toujours souhaité incarner ne devraient pas être des facteurs retenus contre moi, c’est-à-dire qui transforment les «plus» en «moins». Mais quel paradoxe! On devrait plutôt se réjouir lorsqu’une personne adopte le style de vie qui lui convient et apprécier ses réalisations pour ce quelles sont sans les évaluer à la baisse sous prétexte qu’elle bénéficie de conditions de vie favorables, ce qui lui enlève le crédit de ses efforts.

Par surcroît, si je lis entre les lignes, les commentaires qui me sont adressés suggèrent que ce mérite ne me revient pas; c’est à mon conjoint pourvoyeur que je dois mon bien-être plutôt que sur mes choix, décisions et efforts qui constituent le monteur de ma propre Force Geyser. Encore là, ce n’est rien de nouveau parce qu’il y a des lunes que le travail des mères au foyer n’est pas socialement reconnu comme un travail à part entière et que les activités qu’elles accomplissent pour se réaliser compte pour des peccadilles. Je me retrouve alors dépouillée de tout mérite en ce qui a trait à mon pouvoir de création, à mes réalisations et à mon bien-être. C’est plutôt irritant ne trouvez-vous pas? De mon avis, je suis à l’origine de mon propre bonheur. En planifiant ainsi mon parcours, en usant de stratégies visant le bien-être et en sélectionnant les personnes qui m’entoure, j’ai au moins le mérite de m’être épargné jusqu’à maintenant une vie de misère et de souffrance, d’avoir eu le courage de prendre ma vie en main, de réaliser mes rêves et le cran d’exiger le meilleur de la vie. Comme l’a déjà dit Christine de Suède : «La récompense du mérite est le mérite même.»

 La souffrance est inutile

«Mais que sert le mérite où manque la fortune?» Pierre Corneille

Mes meilleures pensées se tournent vers ces femmes qui vivent ces problématiques et qui souffrent au quotidien. Je sais la résistance qu’il leur faut démontrer et tous les efforts qu’elles doivent déployer pour maintenir la tête hors de l’eau, pour survivre, car je proviens également de ce milieu. J’ai même consacré une décennie de ma carrière à soutenir ces femmes que j’ai accompagnées vers un mieux-être. Quoique le bonheur n’ait pas de sexe, les discriminations sexuelles blessent les femmes en mimant leur vie à plusieurs niveaux et plans. Je pense également à tous ces hommes qui ne sont pas plus heureux qu’elles. Ceci me ramène à ma question de départ. Est-il nécessaire de souffrir pour mériter le fruit de ses efforts? Lorsqu’on s’en sort, est-on plus méritant plus on a souffert? La souffrance n’est-elle pas plutôt un fardeau? J’en conclu qu’il n’y a aucun mérite à souffrir, mais beaucoup de peine ainsi créée. Cela requiert une dose incroyable de courage pour prendre sa vie en main et quitter cet état éprouvant. Je crois également que personne n’est moins qu’une autre, c’est seulement que nos «plus» ne sont pas aux mêmes endroits. Enfin, j’estime que chacun mérite tout le soutien et les ressources nécessaires pour accéder à un mieux-être dans la mesure ou celui-ci décide lui-même de se prendre en main. Et bravo à tous ceux et celles qui prennent leur pouvoir pour agir malgré tous leurs défis et qui réussissent à trouver leur place au soleil.

Peu importe ses conditions, chacun à son lot de souffrance puisqu’elle est inéluctable (i.e. changements, pertes, deuils, etc.). Mais la bonne nouvelle c’est qu’il est possible de s’en sortir un petit pas à la fois que l’on soit profondément touché par la misère ou tout simplement à la recherche d’un mieux-être pour remplacer ce vague à l’âme qui nous hante de temps à autre. Voilà à quoi sert cet article. Or, le premier pas est de renouer avec soi et de contacter sa Force G, ce que les articles précédents vous ont entretenus. Maintenant, pour organiser et canaliser cette puissance intérieure, c’est-à-dire savoir vers où et sur quoi diriger ses efforts pour accroitre son bien-être, il importe de faire le bilan de sa situation, travailler à guérir ses souffrances et miser dorénavant sur son bien-être qui sont trois activités qui assainissent et purifient sa source geyser (l’énergie vitale qui anime le Soi). Quelque soit notre vécu et nos conditions, nous méritons tous de jouir de notre vie et d’être heureux.

Bilan PVP

Le nouvel an approche à grands pas. Voilà l’occasion parfaite de faire une rétrospective de l’année qui se termine. Que le moment du bilan soit synchronisé ou non sur ce jour importe peu; il peut se faire à tout moment et couvrira les 12 derniers mois ou la période de votre choix. Je suis de ceux qui tiennent un agenda justement pour organiser le quotidien, mais je m’en sert également pour suivre l’évolution et la progression des différentes sphères de ma vie. Je consigne tout ce qui me semble important et ceci facilite cet exercice. Le bilan est un merveilleux outil pour constater son cheminement et s’approprier ses réalisations. Il permet également de se situer dans le présent à partir du passé et de se projeter dans l’avenir à partir du présent. Faire le bilan est une tâche assez simple, mais qui exige tout de même un moment de réflexion. Je vous propose la méthode P.V.P  qui désigne Point, Vide et Plein qui sont trois étapes au bilan.

D’abord, faire le point signifie se poser à soi-même la question «Comment ça va?». Vous aurez ainsi le pouls de votre niveau de satisfaction dans la vie et de votre état de santé et de bien-être global. Prenez crayon et papier et écrivez tout ce qui vous vient en tête. Laissez libre cours à tout ce qui émerge et soyez honnête avec vous-même. Ensuite sortez votre agenda et dressez la liste des événements importants qui ont eu un impact sur votre vie au cours de l’année précédente. Vous prendrez peut-être conscience pourquoi vous êtes essoufflé. Plus on cumule les facteurs de stress (déménagement, changement d’emploi, achat maison, mariage, arrivée d’un enfant, …), plus notre état de santé physique et mentale sont affaiblies. À ce propos, l’échelle de Holmes-Raye peut vous éclairer. Ensuite, pour chacune des sphères de vie (personnelle, couple, famille, vie professionnelle, bénévolat, loisirs, etc.) et de ses quatre dimensions (tête-corps-cœur-esprit), déterminez votre niveau de satisfaction sur une échelle de 1 à 10 (10 correspondant au niveau de satisfaction le plus élevé). Référez-vous au schéma «Projet de vie» reproduit dans l’article «Comment faire l’amour à sa vie?» sous l’onglet V.I.P. Maintenant, vous savez où se situe vos joies comme vos difficultés, peines et souffrances, s’il y en aient.

Une fois toutes ces informations notées et identifiées, prenez le temps d’observer le bilan général et faites le vide. Laissez votre tête-corps-cœur-esprit assimiler le tout et s’installer en zone neutre, cet espace intérieur qui observe tout simplement votre parcours sans juger vos expériences. Établissez-vous dans ce lieu empli de paix. Les événements sont tout simplement ce qu’ils sont et vous avez fait le meilleur avec votre état de conscience du moment et les moyens disponibles. Soyez heureux de tous vos bons coups et offrez-vous reconnaissance et mérite. Il s’agit donc de boucler une année, de la finaliser officiellement, afin de faire de la place pour ce nouveau chapitre de vie qui s’ouvre devant soi. À cette étape vous pouvez poser une action précise pour honorer l’année qui s’est écoulée ainsi que votre vécu. Suivez votre intuition qui vous proposera des idées et célébrez le «ce que je suis devenu» et le «où j’en suis maintenant?».

Comme le sous entend les croyances véhiculées par le mystère du calendrier Maya à propos du 12-12-2012 ou le 21-12-2012, suite à ce bilan vous entrez dans un nouveau calendrier. Vous ressentez peut-être cette force qui vous pousse déjà vers l’avant et les nouvelles énergies qui s’installent comme des sensations diffusent qui se préciseront au fur et à mesure de votre progression. L’étape du plein arrive lorsque vous vous posez la question «où est-ce que je m’en vais?». Lorsque votre esprit vous envoie des projections vous y êtes. Maintenant, pour chacune des sphères et dimensions de votre vie, établissez un objectif que vous souhaitez atteindre. Parfois c’est «clair comme de l’eau de roche» et, à d’autres occasions, il faut simplement attendre que le mentale ouvre le chemin pour que le Soi vous inspire. En temps et lieu cela se précisera.

Guérir ses souffrances

«La souffrance n’est pas nécessaire au développement de l’homme; elle n’est que le résultat de la violation de la loi spirituelle.» Florence Scovel Shinn

Pour la prochaine année, une partie de vos énergies devrait être utilisée à soigner cette part de vous-même qui est soit troublée par des difficultés, affligée par des peines ou encore souffrante car blessée par certains événements. Inutile d’essayer de camoufler ces états; Ils ne vous quitteront pas tant que vous ne prenez pas le soin de les regarder, de les résoudre et de les guérir, s’il y a lieu. Reprenez votre bilan et dressez l’inventaire de vos guérisons essentielles à votre bien-être et placez-les en ordre de priorité. Ensuite, identifiez une action que vous pouvez réaliser pour entamer le processus de guérisons de la première difficulté, peine ou blessure. Par exemples, vous attribuer un temps pour réfléchir, vous confier à une personne de confiance, faire la lecture sur ce type de difficulté pour mieux vous comprendre, contacter une ressources de votre communauté pour vous informer de leurs services, consulter un thérapeute, prendre des mesures spéciales pour faire cesser une situation, décider de communiquer et de vous affirmer auprès d’une personne qui vous blesse, vous inscrire à une session de croissance personnelle ou faire exactement ce que vous avez toujours remis à plus tard.

Vous savez probablement déjà ce que vous avez à faire pour amorcer le processus de résolution de problème ou de guérison. La plupart du temps c’est le courage de passer à l’action qui manque. Saviez-vous que la motivation au changement provient soit de l’intensification d’un état de mal être, soit d’une poussée vitale omniprésente qui devient incontournable, ou encore, soit des plaintes de votre entourage? N’attendez pas que tout s’envenime pour passer à l’action. Laissez plutôt les sentiments savoureux que suscitent l’anticipation des meilleurs scénarios de vie vous guider vers ce mieux être, car c’est là qu’il faut investir de soi. Vous méritez le meilleur et pour accéder à ce meilleur vous devez acquérir les compétences, demander le support et aller chercher les ressources nécessaires pour guérir un à un les éléments sur votre liste de guérison.

Miser sur son bien-être

«Être en accord et en paix avec sa propre conscience est la condition majeure et primordiale qu’un homme de bien puisse requérir.» Jean-Michel Wyl

Maintenant qu’une partie de votre énergie est mobilisée à résoudre, à réparer ou à guérir toutes ces zones en Soi qui nécessites de l’aide, la plus grande part de vos énergies devrait passer à chercher la satisfaction de vos besoins en agissant de façon à vous construire. Reprenez votre bilan et faites la liste des objectifs que vous souhaitez atteindre dans ce nouveau chapitre de votre vie. Placez le tout par ordre de priorité car on ne peut tout faire en même temps. À présent, sélectionnez les trois plus importants. Pour chacun d’eux, identifiez une petite action toute simple que vous poserez à court terme pour amorcer leur manifestation par des gestes simples et concrets. Prenez une résolution qui soit réaliste et réalisable car elle se retrouvera rapidement aux oubliettes! L’idée c’est de faire un pas à la fois et non de prendre les bouchées double au risque de vous étouffer avec vos buts démesurés, c’est-à-dire vivre un échec et nuire ainsi à votre estime de soi.

Prenons exemple sur cette fameuse résolution qui nous à tous un jour traversé l’esprit, celle de perdre du poids. Si vous souhaitez faire disparaître ces fameux kilos en trop, affaire que vous reportez constamment d’une année à l’autre, si vous n’êtes pas encore prêt à faire cette diète qui vous rebute tant, vous pouvez faire autre chose pour avancer vers cet objectif. D’abord, vous pouvez identifier les raisons qui vous motivent à prendre cette décision. Est-ce les standards de beauté qui vous poussent à agir ou l’atteinte du poids santé? Vous pouvez lire l’excellent livre de Danielle Bourque «A dix kilo du bonheur». Vous pouvez prendre rendez-vous avec votre médecin pour faire un bilan santé et vérifier ci un régime est approprié à votre situation. Vous pouvez vous instruire sur les bonnes habitudes alimentaires et les besoins du corps en termes de calories, protéines, vitamines, etc., rencontrer une nutritionniste pour vous éclairer à ce sujet, sonder votre entourage sur leurs propres habitudes et les trucs santé. Vous pouvez également analyser les différentes possibilités et types de «régimes» afin de trouver ce qui vous conviendrait le mieux sans nuire à votre corps et même vous inscrire à un groupe de motivation si c’est votre choix . Enfin, vous pouvez décider de couper un dessert par semaine, ajouter un fruit à votre menu ou faire de l’exercice. Les possibilités sont illimitées et ne sont pas toutes aussi draconiennes que cette diète stricte qui vous enlève tout plaisir à manger. Un petit pas à la fois est seulement nécessaire. Et en réalisant ce pas, le prochain apparaîtra de lui-même. Si vous suivez la piste, de fil en aiguille vous serez plus proche que jamais de votre but. La vie devient si simple lorsqu’on suit le courant!

Le bonheur en soi

Plus vous serez heureux, moins vous aurez à consacrer de temps à vous soigner et à guérir; Vous ne créerez plus de nœuds ou alors vous les résoudrez plus rapidement sachant que vous devrez inévitablement le faire un jour ou l’autre. Imaginez la joie éprouvée à investir votre énergie à réaliser ce qui vous rend rayonnant. Alors, pour arrêter de souffrir, il faut assurément faire vivre vos rêves. En travaillant ainsi à chercher la satisfaction et à employer votre Force G pour vous construire, vous ajustez votre vision du monde à une perspective qui élève votre niveau de bien-être et de réalisation, deuxième leçons de la méthode Effet geyser.

Leçon 2 : Faire le bilan de mon cheminement pour ajuster ma vision du monde à une perspective qui élève mon niveau de bien-être et de réalisation.

Cher lecteur, je vous l’assure, c’est toujours payant de réaliser ses rêves et de progresser vers l’avant peu importe ce que l’on vous dit à ce sujet, car le bonheur on le mérite tout le temps! Ce qui compte c’est ce que vous ressentez comme étant juste pour vous et ce qui vous rend heureux. Notre éducation judéo-chrétienne nous a inculqué l’idée que la souffrance est une vertu. Je serai toujours en désaccord avec cette croyance. Aimez, créez, travaillez, espérez, dépassez-vous et évoluez, mais n’entretenez pas la souffrance pour vous assurer la protection des dieux ou vous ouvrir les portes du paradis. La vie est trop courte pour être dépensée dans la douleur. Osez donc votre bonheur en suivant votre Force Geyser!

À bientôt!

© Martine Trudel, 2012

Information exclusive. Toute reproduction autorisée avec la mention explicite du nom de l’auteure et du site fontainedelumière.wordpress.com.

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